Inscrit le : 07 mars 2010

Bonjour à toutes, je ne peux pas dépasser 10mg de Duphaston car je n'avais pas d'autres cycles d'au moins 3 jours dans ma vie car l'été j'aurais dû faire de la pillule pour mon cycle menstruel. Je pense que c'est un des médecines qui me donnera des effets secondaires pour moi. Je n'ai pas de problèmes avec l'ovulation mais j'ai du tout eu des désagréments. En fait je prends du duphaston en même temps que mon premier cycle et je suis sûre de ne pas avoir de regles précisées. Ma mère qui a vu la pillule pour le cycle est très impatiente car c'est un peu frustrant et c'est un peu trop frustrante pour moi. Je viens d'avoir deux ou trois règles d'au moins 1 mois, mais je ne suis pas certaine que c'est la même chose pour moi. Je ne sais pas si je dois avoir des règles précisées. Mais ça peut être un peu différent pour moi. Si vous avez une ordonnance pour un médicament pour mon traitement, je me sens difficile de me dire que je dois avoir un retour à la fertilité et qu'il me fera des examens. Est ce que vous avez de chances d'avoir des cycles plus longs? Merci à toutes pour votre réponse.  

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Inscrit le : 05 décembre 2008

Bonjour,je suis sous duphaston et je suis allée voir un gyneco mais cette même étape est très longue pour me prendre. Dans mon cas cela fait quelques mois que je suis allée voir un gyneco mais cela m'avait changé de médecin pour voir le gynéco mais cette même étape avec un gynéco qui m'a prescrit Duphaston. Mais le gyneco m'a prescrit Duphaston pour les règles d'au moins 2 mois et le gyneco m'a prescrit Duphaston pour les cycles menstruels et ce qui était difficile. Je sais que je ne peux pas faire de test de grossesse car j'ai deux règles d'au moins 1 mois et que je ne prends pas Duphaston car les hormones sont des hormones qui se trouvent en dehors du cycle menstruel.

Aperçu

Le 18ème sommet des chefs d’Etat de l’UA s’est tenu du 14 au 15 juillet 2012 à Addis-Abeba en Ethiopie. Au centre des discussions, la mise en œuvre de l’accord de paix entre le gouvernement centrafricain et l’opposition. La situation socio-politique de ce pays est aujourd’hui très préoccupante car le retour de la paix est loin d’être acquis. Les groupes armés et les milices rebelles se sont déjà manifestés.

Description

Le conflit qui oppose le gouvernement centrafricain et l’opposition, soutenu par la communauté internationale et l’UA, a débuté en décembre 2004, lorsque des milices rebelles ont attaqué le palais présidentiel à Bangui et tué des membres du gouvernement et des hauts cadres de l’administration centrafricaine. En février 2005, les groupes armés se sont repliés en brousse, avant de revenir dans Bangui, dans le but d’encercler la capitale et de reprendre le contrôle de celle-ci. La République centrafricaine (RCA) est l’un des pays les plus pauvres du monde et est confrontée à de nombreux problèmes sociaux, économiques et politiques. La crise actuelle a entraîné le déplacement de millions de personnes, principalement des agriculteurs et des éleveurs, vers les zones urbaines et les villes de la capitale. La population centrafricaine souffre d’une grave pénurie de nourriture et de médicaments. La plupart des agriculteurs vivent sous la menace permanente de l’explosion de mines et de bombes artisanales. Les conflits armés et les déplacements de populations dans les camps de réfugiés ont entravé les efforts visant à atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Dans le cadre du processus de paix, les Nations Unies ont mis en place un programme de réconciliation nationale et de stabilisation du pays. Il vise à renforcer la capacité des autorités à mettre en œuvre des politiques et des programmes de sécurité efficaces et à réhabiliter les infrastructures et à améliorer les services sociaux essentiels. Le programme a un large éventail d’activités et comprend la consolidation de la paix, la réforme du secteur de la sécurité et la réforme du secteur de la justice. Il est conçu pour améliorer la sécurité du peuple centrafricain grâce à une approche multidimensionnelle qui couvre également les aspects politiques, économiques, sociaux et environnementaux des processus de paix.

Résumé

Les groupes armés ont cherché à mettre fin au conflit en 2004, après quoi ils ont commencé à utiliser la violence contre les forces gouvernementales. Les groupes armés et les milices rebelles se sont manifestés dans le pays, les combats ont commencé à se propager à Bangui et à ses environs et à s’étendre au nord et au sud, dans des zones isolées telles que la ville de Bossangoa. Le groupe MPC (Marche des Peuples pour la Paix) dirigé par Michel Djotodia et les autres groupes armés ont également commencé à faire des incursions dans les villes de la capitale, dont la plupart ont été évacuées par les forces de maintien de la paix de la mission africaine de prévention et de résolution des conflits (MAPR). Le processus de paix a été interrompu lorsque les forces gouvernementales ont arrêté Michel Djotodia et l’Unité de Sécurité Intérieure (SIU) et ont commencé à réprimer les rebelles. L’accord de paix a été signé en février 2006 entre le gouvernement et l’opposition en présence de hauts fonctionnaires internationaux et d’un représentant du Secrétaire général de l’ONU. Cependant, des divergences subsistent au sein du gouvernement, entre le Premier ministre François Bozizé et d’autres ministres. La mise en œuvre de l’accord de paix a été retardée car le Premier ministre a été contraint de démissionner et a été remplacé par M. Nguendet qui a prêté serment en tant que nouveau Président de la République centrafricaine en mai 2007.

Contexte

La RCA a été le théâtre de conflits depuis les années 1950. En 1956, la Séléka (principale milice) a pris le pouvoir à Bangui. En 1959, elle s’est étendue à d’autres régions du pays. En 1964, elle s’est retournée contre son propre chef en massacrant près d’un million de personnes. La situation politique a continué de se détériorer à la suite de l’élection du président François Bozizé en 2003, qui a renversé son prédécesseur Ange-Félix Patassé. La République centrafricaine (RCA) est l’un des pays les plus pauvres du monde. Il y a beaucoup de pauvreté et de chômage et la situation politique est très instable. La pauvreté et le chômage augmentent le nombre de personnes déplacées à l’intérieur du pays. Le gouvernement centrafricain et l’opposition se disputent le pouvoir depuis que le président François Bozizé a été nommé en 2003, au détriment de son rival Ange-Félix Patassé. Le pays fait face à de nombreux problèmes sociaux et économiques : pénurie de nourriture et de médicaments, crise humanitaire, conflits armés, épidémies, etc. La situation socio-politique de la RCA est aujourd’hui très préoccupante. La violence a augmenté dans la capitale Bangui en raison du retour des groupes armés et des milices rebelles. Le groupe Séléka a envahi la ville de Bangui en février 2003, et a attaqué les autorités locales. Depuis lors, les groupes armés ont continué à s’opposer au gouvernement, et la situation politique s’est détériorée. Il y a eu une tentative de coup d’État en mai 2004, suivie de troubles internes dans la capitale Bangui. Le président Bozizé a été contraint de démissionner en mai 2005 et remplacé par le Premier ministre Faustin Archange Touadéra. Depuis, les groupes armés ont repris le contrôle de la capitale et des principales villes, et la situation politique s’est encore détériorée. Les groupes armés se sont emparés de Bangui et ont commencé à y mener des opérations de répression, y compris des attaques contre des civils. Ces groupes armés ont continué à opérer dans les zones éloignées et isolées comme la brousse. Les affrontements continuent de se propager dans les zones rurales, menaçant la vie de millions de personnes. Les milices rebelles sont entrées en conflit avec l’armée centrafricaine en 2005 et ont continué à se battre jusqu’à leur défaite en 2006. La guerre civile a coûté la vie à près de 300 000 personnes, et a été la principale cause de l’exode de 1,6 million de personnes de leur pays. La RCA a connu une pénurie de nourriture et de médicaments. Les populations ont été déplacées de force à l’intérieur du pays et de la Soudanie. Le pays souffre d’un manque de stabilité politique. Il n’y a pas d’autorité centrale et les groupes armés mènent des opérations à Bangui, dans les grandes villes et dans les villages isolés. Les groupes armés se sont emparés de la capitale et des principales villes, et la situation politique s’est détériorée. Les groupes armés se sont rendus à l’armée centrafricaine pour qu’elle leur remette le contrôle de Bangui et des principales villes. Les groupes armés et les milices rebelles se sont installés dans des villages isolés et ont attaqué les forces de maintien de la paix et les forces gouvernementales. Les combats se sont poursuivis dans les régions de l’est et du nord du pays, dans les villes de la capitale, et dans les régions rurales. Le nombre de personnes déplacées à l’intérieur du pays a augmenté de 100 000 en 2005 à 300 000 en 2006. Les populations civiles ont souffert de la malnutrition, de la famine et de la maladie. La pénurie de nourriture et de médicaments a entraîné la mort de centaines de personnes. Les groupes armés ont commis des atrocités contre les civils et les forces de maintien de la paix. Les milices rebelles se sont repliées en brousse dans des zones isolées. Les milices et les groupes armés ont commis des atrocités contre les civils et les forces de maintien de la paix. Le conflit a entraîné la mort de plus de 300 000 personnes. Les groupes armés et les milices rebelles se sont rendus à l’armée centrafricaine pour qu’elle leur remette le contrôle de Bangui et des principales villes. Les groupes armés et les milices rebelles se sont repliés en brousse dans des zones isolées.