Pharmacie la Fleurie, à Lempdes

Le premier ministre du Québec et leader parlementaire du gouvernement, Philippe Couillard, a tenu hier soir une conférence de presse à l’Hôtel des Gouverneurs de la rue Notre-Dame afin de rappeler que Québec entend « agir » sur le dossier de la réforme de l’assurance médicaments avec le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, à la suite du rapport « Le prix des médicaments au Québec », publié jeudi dernier. M. Couillard a rappelé que la réforme du régime public de santé doit être « juste et équitable » pour l’ensemble des Québécois. Le premier ministre a également annoncé des consultations sur le sujet en fin de journée. Il a précisé qu’il se penchera sur les « conséquences » de cette réforme. Pour sa part, le ministre Barrette a affirmé que Québec « entend prendre des mesures », « très rapidement », pour « protéger » les Québécois contre la hausse des coûts des médicaments, et pour « améliorer l’accès aux médicaments de qualité ».

Par ailleurs, M. Couillard a fait remarquer que la semaine dernière, le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, avait annoncé une réduction de 25 millions $ du financement des universités. « Je n’ai jamais vu ça, a lancé le premier ministre. Je ne l’ai jamais vu dans le bilan de l’actuel gouvernement. Le Québec a toujours eu la chance de compter sur des universités qui travaillent fort et qui contribuent à la formation de la main-d’œuvre. On va continuer à travailler fort à développer notre expertise. Il n’y a pas une journée qui passe sans que nous travaillions pour le Québec. »

Le premier ministre a précisé que le financement des universités sera « bonifié » et que les étudiants auront accès à des « bourses salariales plus importantes ». « Ça va aussi être bonifié pour les universités de la région de Montréal. Il y aura des ajustements pour les universités qui ont des retards dans le financement des bourses, a ajouté M. Couillard. Nous allons donner aux universités la même subvention qu’à celle qui ont des retards en ce moment pour le financement de la rémunération.

Un nouveau groupe pour la concertation

La première ministre Pauline Marois a annoncé, mercredi soir, la création d’un nouveau groupe de concertation de la communauté pour assurer la pérennité de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le nouvel organisme, qui se concrétisera dans les prochaines semaines, sera dirigé par le pdg de la Caisse, Daniel Gallant et sera composé de la présidente-directrice générale du Fonds de solidarité FTQ, Dominique Bourque, et du directeur de la Caisse du Québec, Alain Gingras.

La première ministre a souligné que les défis à venir de la Caisse nécessitent une réflexion de grande envergure à l’échelle de l’organisation et que le gouvernement du Québec « a tout intérêt à ce que le Québec continue à faire rayonner la Caisse et à soutenir la Caisse dans sa croissance ». Mme Marois a rappelé que le gouvernement a investi plus de 500 millions $ depuis 2008 afin d’assurer la stabilité du portefeuille de la Caisse et que cette décision a été prise dans un souci de « transparence et d’efficacité ».

Des conditions de travail difficiles

La présidente de la Centrale des syndicats du Québec, Julie-Maude Rioux, a indiqué hier que la « première centrale syndicale au pays » est au bout de sa « lutte » pour obtenir des « conditions de travail justes et durables », comme le prévoit la nouvelle convention collective de travail de ses quelque 20 000 membres. Mme Rioux a rappelé que la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) est à la tête d’un mouvement de grève qui a commencé le 29 avril dernier à la cimenterie de Port-Daniel, en Gaspésie, où les syndiqués de l’usine Ciment Lafarge ont décidé de déclencher une grève générale illimitée. Le gouvernement du Québec doit maintenant négocier avec la FTQ un protocole de mise en œuvre de la nouvelle convention collective. La présidente de la centrale a ajouté que le gouvernement a « un rôle crucial » dans cette négociation et a demandé à la centrale « d’exprimer son point de vue sur les conditions de travail et ses attentes ».

Des mesures ciblées

La ministre de l’Éducation, Isabelle Charest, a annoncé hier le lancement d’une consultation sur les mesures de soutien aux écoles privées à la suite du rapport du ministère de l’Éducation, « Le prix des médicaments au Québec ». La ministre Charest a précisé que cette consultation se déroulera en deux temps. Elle sera d’abord menée par les commissions scolaires du Québec, qui devront remettre des commentaires avant le 10 mai. « C’est un mandat très large qui s’adresse à l’ensemble des acteurs de l’éducation au Québec, a dit Mme Charest. Elle sera aussi menée par la Fédération des commissions scolaires du Québec, qui doit remettre son rapport avant le 31 août prochain.

La ministre a précisé qu’elle entend poursuivre son projet de consultation, même si elle a déjà entrepris une démarche semblable en octobre 2015. « Il y aura deux autres volets, a-t-elle dit. On va faire des rencontres régionales en juin. Je vais aussi aller rencontrer les acteurs pour leur expliquer le mandat et la démarche. Nous avons besoin de faire des changements. Nous allons faire en sorte que les acteurs de l’éducation soient en contact avec les commissions scolaires pour qu’ils puissent nous partager leurs avis sur les mesures de soutien aux écoles.

Les consultations ont été lancées en vue de la réforme du régime de prêts et bourses et des programmes d’aide financière aux étudiants du Québec.

15 mars 2019×

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Un rapport qui accable le gouvernement de Philippe Couillard

Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, s’est dit « extrêmement » déçu par la publication du et s’est dit « extrêmement déçu » de la réponse du gouvernement. « Ça fait six ans qu’on a des engagements et que les engagements n’ont pas été respectés, a-t-il dit. On a un mandat très large qui s’adresse à l’ensemble des acteurs de l’éducation au Québec, a-t-il ajouté.

Le premier ministre a affirmé que la consultation sur les mesures de soutien aux écoles privées doit être menée en deux temps. « C’est un mandat très large qui s’adresse à l’ensemble des acteurs de l’éducation au Québec, a dit M.

Pour sa part, la présidente de la FCFA, Sylviane Lanthier, a déclaré que la fédération est « très déçue » par la publication du rapport. « Nous, on avait demandé à la Fédération des communautés francophones et acadiennes d’être présente lors de la consultation, a-t-elle indiqué. On a un rôle important à jouer pour faire entendre notre voix et notre voix sera entendue. Nous espérons que le gouvernement va faire preuve d’une écoute et d’une collaboration plus grande.

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Il a été rapporté que la thérapie endocrinienne seule peut réduire la croissance tumorale de 30%. Il existe de nombreux facteurs de risque pour le développement de cancer de la prostate, y compris la consommation de tabac, le stress, les habitudes alimentaires, l'hypertension et la présence de diabète.

Il y a 15 ans de cela, un médecin américain a publié un article dans la revue The New England Journal of Medicine et qui a été traduit dans de nombreuses langues. Son étude a été largement commentée et a eu un impact majeur sur la prise en charge des patients atteints de cancer de la prostate.

Le Dr Thomas G. Stearman, de l'Université de l'Iowa, a mis au point un nouvel appareil d'imagerie par résonance magnétique (IRM), capable de mesurer avec précision la taille de la prostate et de détecter la présence de nécrose cancéreuse dans les tissus prostatiques à l'aide d'ultrasons. Cet examen n'est plus réservé aux urologues ou aux gynécologues.

La prise en charge du cancer de la prostate est une affaire de médecins. Il n'y a pas de traitement universel, ni de traitement qui guérit complètement le cancer. Le patient doit prendre en compte certains facteurs qui déterminent le pronostic.

Quelles sont les causes du cancer de la prostate?

Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus fréquent chez les hommes après le cancer du côlon.

La prostate est un organe situé à la base de la verge et qui produit les spermatozoïdes.

Il est à noter que le cancer de la prostate touche essentiellement les hommes âgés de plus de 50 ans.

La prostate peut être à l'origine de problèmes d'érection et d'impuissance.

Les hommes ont souvent une vie sexuelle active, mais la présence de certains facteurs de risque a été observée chez les hommes atteints de cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate est la forme la plus courante de cancer de la prostate. Il s'agit d'un type de cancer de la prostate qui se développe à partir de cellules du tissu glandulaire. Il se propage dans la partie inférieure de la prostate.

Il existe deux types de cancer de la prostate: le cancer de la prostate à cellules atypiques et le cancer de la prostate à cellules basales.

Le cancer de la prostate à cellules atypiques est une tumeur qui se développe à partir de cellules glandulaires saines de la prostate. Le cancer de la prostate à cellules basales est une tumeur qui se développe à partir de cellules de la prostate glandulaires.

Quels sont les symptômes du cancer de la prostate?

Les symptômes du cancer de la prostate peuvent varier en fonction de la taille de la tumeur, du stade de développement et du type de cancer de la prostate.

L'hyperplasie de la prostate est une hypertrophie bénigne de la prostate.

Le cancer de la prostate est le plus souvent asymptomatique.

Le cancer de la prostate est parfois associé à des troubles urinaires, y compris l'incontinence urinaire.

Le cancer de la prostate se manifeste par des symptômes non spécifiques tels que:

  • douleur au moment d'uriner
  • urines douloureuses
  • douleur pendant les rapports sexuels

Les hommes atteints de cancer de la prostate peuvent avoir des symptômes d'atteinte ganglionnaire, d'atteinte osseuse et pulmonaire.

Le cancer de la prostate peut se développer à partir de cellules de la prostate, mais il peut également se développer à partir de cellules de la paroi de la prostate.

Les hommes atteints de cancer de la prostate peuvent développer des douleurs au niveau de la glande prostatique.

Les signes et les symptômes du cancer de la prostate

Dans la plupart des cas, les hommes atteints de cancer de la prostate présentent des symptômes d'atteinte ganglionnaire, d'atteinte osseuse et pulmonaire.

Les symptômes du cancer de la prostate peuvent varier en fonction de sa taille, de son stade de développement, de son type et de ses caractéristiques biologiques.

Les symptômes peuvent inclure:

  • douleurs lors de la miction
  • miction douloureuse
  • constipation
  • miction fréquente

Il est important de noter que le cancer de la prostate peut entraîner des douleurs dans la région pelvienne et de la vessie et des troubles urinaires.

Il existe plusieurs signes et symptômes du cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate est le type de cancer le plus courant chez les hommes. Il est plus fréquent chez les hommes de plus de 50 ans.

Le cancer de la prostate est causé par des changements dégénératifs de la glande de la prostate.

Comment traiter le cancer de la prostate

Le cancer de la prostate est un type de cancer de la prostate qui se développe à partir de cellules de la prostate glandulaire. Il se propage dans la région inférieure de la prostate.

Le cancer de la prostate est la forme la plus fréquente de cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate est un cancer de la prostate qui se développe à partir de cellules de la prostate glandulaire.

Qu'est-ce qu'un cancer de la prostate?

Le cancer de la prostate est une maladie fréquente chez les hommes et il représente 30% des cancers masculins.

Il existe différents types de cancer de la prostate.

Le plus courant est le cancer de la prostate qui se développe à partir de cellules glandulaires.

Il existe également des cancers de la prostate qui se développent à partir de cellules de la prostate glandulaires mais qui se propagent dans la région inférieure de la prostate.

Les facteurs de risque du cancer de la prostate

Les facteurs de risque du cancer de la prostate sont les suivants:

  • Les hommes ayant des antécédents de cancer du côlon ou du rectum
  • Les hommes ayant des antécédents familiaux de cancer du rectum
  • Les hommes ayant une hypertension artérielle
  • Les hommes ayant des antécédents familiaux de cancer du côlon ou du rectum

Ces facteurs de risque de cancer de la prostate sont des prédispositions génétiques ou des anomalies anatomiques qui peuvent affecter la taille de la prostate.

Comment détecter le cancer de la prostate?

Il est important de savoir qu'il existe plusieurs facteurs de risque de cancer de la prostate.

Pour les hommes atteints de cancer de la prostate, il existe un certain nombre de facteurs de risque qui peuvent contribuer à l'apparition de la maladie.

Il est important de noter que le cancer de la prostate peut se développer à partir de cellules de la prostate glandulaire.